Cette toile représente un kikor en pleine migration, fuyant son terrier détruit par les hommes.

Il trace son chemin, perdu dans ces immensités d’asphalte, le cœur lourd, la peur au ventre.

Il veut juste se retrouver un trou, pour y passer son existence au chaud, loin des fous, loin des fachos.

Ce tableau ne mesure pas 100 cm par 100 cm, sa taille est moindre.

Cette conclusion l’est également.