Comme souvent,  ce tableau représente un Kikor, arrivant joyeusement sur une ville grise et polluée, où les anonymes fuient, pleurent,crient.

Où les Klaxons sont agressifs, les oiseaux enroués et les chats de gouttière .

Où l’haleine nauséabonde des égouts s’évapore vers le soleil, là où le fric te tire, hors de ton sommeil .