Cette peinture met en scène une Kikorette (femelle des Kikor) sur la gauche, copulant avec un Kikor sur la droite.
Elle est inspirée des recherches du fameux scientifique Vryer sur cette sorte de lapin mutant.
Lui même est à l’origine de leur découverte, lors d’une « expérience », au début des années deux mille.
Chez les Kikor, on peut distinguer les femelles, par le fait qu’elles aient la grâce de ne pas montrer leurs dents. Tandis que les mâles eux, les exhibent, car ils n’ont rien d’autre à faire briller.
A contrario de chez l’ Homo sapiens, les femmes sont le sexe fort, chez cette espèce de lapin, ce qui est logique.
Tandis que les mâles n’en mènent pas large, car sans elles, aucun avenir pour eux.
Les Kikor se reproduisent toujours très prêt de centrales nucléaires, quand il ne fait pas trop froid, et que l’herbe n’est pas trop mouillée.
Si par curiosité lubrique, vous voudriez en savoir plus sur le sujet, procurez vous l’ouvrage suivant :
La pluralité des Kikor copulateurs, par le célèbre éthologue Vryer, aux éditions Rualas.